jeudi 11 février 2016

Du Bé-Bé au Pé-Pé

   
Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.
Julien Green

Je m’arrache les cheveux......... pour vous, pour nous, pour les prochains, qui n’ont pas encore franchi la ligne fatidique qui vous rendra inutile et invisible....Et pour ceux qui n’ont pas trouvé la formule de « la vie à l’envers ».

Ma prochaine vie... si je reviens, je commence par la fin 

Par Woody Allen

« On devrait vivre la vie à l’envers. 
Tu commences par mourir. 
Ça élimine ce traumatisme qui nous suit toute la vie. 
Après, tu te réveilles dans une maison de retraite, en allant mieux de jour en jour. 
Alors, on te met dehors sous prétexte de bonne santé et tu commences par toucher ta retraite. 
Ensuite, pour ton premier jour de travail, on te fait cadeau d’une montre en or et tu as un beau salaire. 
Tu travailles quarante ans jusqu’à ce que tu sois suffisamment jeune pour profiter de la fin de ta vie active. 
Tu vas de fête en fête, tu bois, tu vis plein d’histoires d’amour ! 
Tu n’as pas de problèmes graves. Tu te prépares à faire des études universitaires. 
Puis, c’est le collège. Tu t’éclates avec tes copains, sans affronter les obligations, jusqu’à devenir bébé. 
Les neuf derniers mois, tu les passes flottant dans l’eau vitale, tranquille, avec chauffage central, room service, etc ... 


Je n’ai pas découvert la formule magique qui permet cette inversion illusoire, par contre à l’aube de mes 83 ans, je peux vous parler de ce que je connais, les bébés (5 avec moi) et les papys (moi et tous les autres). La vieillesse…, des vieux et des vieilles, de toutes les catégories, des actifs, des créatifs, des sportifs, des dépressifs, des agressifs, des poussifs, etc. donc j’en parle.

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Le B-B
Commençons par le début.
Ah ! ces années merveilleuses de mon enfance où je croyais tout ce que l’on me disait ou tout ce qui m’entourait passaient à la moulinette du féérique, où les mots mensonges — vol — viol — crime — mort, n’avaient encore aucune signification, où le mot «maman» remplissait à lui seul l’univers de mes interrogations.
Que ce temps d’une conception immaculée du monde est court... et comme il disparaît rapidement au profit de l’incertaine réalité du bien et du mal.
Quelques années d’école et le voile se lève peu à peu sur la face cachée de toutes choses. Sur les règles de ce qui est permis ou défendu, sur l’ordre, sur la loi du plus fort ou du plus riche, sur l’injustice de la justice.
Encore quelques années et c’est la mort ou la disparition, ce qui est pareil, qui font leur apparition. Grand coup de poing au creux de l’estomac, souffle coupé ; maman est partie là haut, main levée, doigt pointé en direction du ciel ou... papa a quitté la maison et ne reviendra pas, ce qui est pareil.
Là, encore tout frais émoulu de la prime enfance, tout tendre, sans protection, sans indifférence, ça fait mal, mais on s’en remet.... enfin pas tous. Puis le temps fait son œuvre, on oublie ; on a 20 ans.
Ouf ! j’y suis arrivé à peu près entier, le monde, l’amour, les plaisirs ; me tendent les bras, la vie commence maintenant

J’oubliais, encore un petit intermède « si tu veux être un homme, mon fils » . Il y a eu la première communion ou on t’a appris à aimer ton prochain, maintenant il a l’école militaire ou on va t’apprendre à le tuer et accessoirement à ne pas te faire tuer, toi.
Le problème c’est que chaque pays a son école à apprendre à tuer l’autre, et nous sommes toujours l’autre de quelqu’un. Alors là t’as intérêt à tomber sur une de ces rares périodes qu’on nomme PAIX, sinon il y a une grande malchance pour toi et pour des milliers d’autres... que nos 20 ans — amour, toujours c’est pour la vie, etc. rime avec; à mort — fini — les carottes sont cuites.
Ou alors... si t’as vraiment du pot, comme moi, faut être né dans un pays neutre, comme la Suisse ou la Suède par exemple, mais c’est rare et nous sommes pas beaucoup à avoir cette chance.
Arrivé là... si tu y es arrivé! La première partie de ta vie est passée, tu ne crois plus en rien, tu fais ce qu’on te dit “alignez couvert“ et tu te couvres quand tu sors. Allez... un petit coup de chance quand même ; tu trouves l’amour, tu l’épouses, vous avez des enfants, t’as un bon boulot, de la “tune“ ça roule... tout coule ; le bonheur quoi !
La suite…
Deuxième temps de la vie, l’âge adulte, t’es en plein dedans mon gars. T’as eu ta part de bonheur, stop! ça suffit… il en faut pour tout le monde. Ta femme meurt d’un cancer, tu perds ; un enfant, ton boulot, la boule… au choix... – les quatre? – Tous en même temps? OK. comme ça t’es tranquille pour un bout de temps, oui je sais il faudra bien une dizaine d’années pour s’en remettre. Lis les livres de Cyrulnik, il appelle ça “la résilience“ ça peut aider, mais faut être quand même doué.
Je l’étais...
Enfin le grand Amour... je le tiens, je le serre, je l’épouse et.. Je le perds avec un enfant parti dans un amas de tôle pour faire bon poids. Mais maintenant j’ai la résilience, je m’en remets... au bout de 5 à 6 ans quand même.
Mon Dieu! Un petit coup de main, j’ai bien payé, n’aurai-je pas le droit à ma part de chance, s’il te plaît, indique-moi le chemin du bonheur.
N’y aurait-il pas une autre voie? Pour une autre vie, dans un autre monde où on ne mourrait pas avant l’heure, où on ne serait pas malade, ou il n’y aurait pas de guerre, pas de famine, pas de profit, pas d’orphelin, pas de pauvre, pas d’accapareur, pas de pollueur, pas de menteur, pas de peur, pas de pleurs. Juste des fleurs et du bonheur.
Merci... merci. Mais de rien, il fallait juste demander… juste. Tout est écrit-là... c’est tellement simple, pourquoi personne ne veut comprendre, pourquoi commettons-nous tant d’erreurs, pour notre plus grand malheur.
Arrivé à mi-vie à la croisée des chemins, j’ai perçu là-bas au fond de la nuit de mon désenchantement, une lumière de vérité, maintenant je sais qu’elle existe... venant de si loin!… Pourrais-je la saisir ?

GRAINE DE POTENCE ( L´Apprentissage de la vie)
Cette première partie traite de mes années d’enfance heureuse, de mon adolescence tumultueuse et de la suite franchement peu recommandable. 
Avec mon père en 1938 dans un modèle Pic-Pic
Tobias mon père; joueur, antiquaire, libertaire, anarchiste et la belle Hélène ma mère ; écrivaine, rêveuse, poétesse, pudique, modiste.  
Moi Blaise, le “bo-bb“ à sa maman, enfant gâté, bien éduqué qui devient peu à peu une graine de potence sous l’influence pernicieuse d’un père sans foi ni loi.
Ce récit traite de cette dérive qui m’amène après de multiples larcins à rendre des comptes à l’injuste justice des hommes et à la divine, plus radicale et définitive.

Quand la foudre frappe.
Étant un bambocheur invétéré et inconscient, forcément… j’ai pris seulement conscience des limites d’un tel mode de vie à l’âge de 40 ans, quand j’ai vu s’éclaircir les rangs de mes compères de ribouldingue. Un à un, ils sont partis, victimes des conséquences d’une fiesta prolongée, des abus répétés d’alcool, de tabac, de pétards et de nuits blanches, etc.
Mon karma et ma bonne constitution en décidèrent autrement. 
Un matin accoudé au comptoir de mon bar préféré, je buvais mes premiers ou derniers ? – Je ne me rappelle plus – verres de blanc, quand… – Elle – est apparue, là de l’autre côté du  comptoir. Je l’ai pris en plein cœur, le choc me laissa muet, je ne pus que pointer le doigt vers mon verre, et bafouiller… encore un s.v.p. mademoiselle… ! 
Le coup de foudre venait de me frapper.
Pour la première fois, je tombais éperdument amoureux.
Quelques mois plus tard, on se mariait.
Dès cet instant ma vie bascula, 1°) parce qu’elle était belle et fraîche, elle avait 18 ans… et quelques mois 2°) parce que moi, pas très frais, j’en avais 38. 
Atteint du syndrome de Faust je me lançais à corps perdu dans la recherche utopique de ma jeunesse perdue.
Après un petit passage chez les AA pour me remettre à flot et à la flotte, et une incursion dans les Roses Croix pour me purifier, c’est finalement dans le bouddhisme Zen que je découvris l’éveil et donc la voie pour y parvenir, d’autant plus que cela ne paraissait pas si difficile, et qu’en surcroît le Bonheur était promis au bout du chemin.
Eh oui, l’amour fou rend fou…
Je me lançais donc à corps perdu pour le retrouver, ce temps perdu, dans cet art de vivre qui faisait un tabac dans les années 70. Terminé la fiesta, les bonnes bouffes, les bons vins. 
Alimentation biologique, céréales, légumes et thé japonais. Manger avec respect, mastiquer correctement, être reconnaissant envers les aliments, ceux qui les cultivent ainsi que ceux ou celles qui préparent ces repas de santé.
Là, je reviens de loin, le grand saut, je ne vous raconte pas les premiers repas de riz complet sec et indigeste. Je persévère, et le miracle se produit, je rajeunis, mes premiers cheveux blancs disparaissent, je perds 10 kg. et retrouve une forme olympique.
Du coup toute la famille s’y met, chacun pour ces propres raisons, ma jeune femme pour le rester et pour la ligne, les enfants pour leurs santés et parce qu’ils n’ont pas le choix.
Dans ce temps-là, j’étais directeur d’usine d’une multinationale, qui produisait, déjà à cette époque, des produits pas très bons pour la santé. Gros dilemme, et cas de conscience qui durèrent quand même 5 ans au bout desquels j’abandonne position et gros salaire pour me lancer dans le commerce et la culture de produits biologique. La macrobiotique est toujours au plat du jour. La forme et les formes, aussi.
Nouveau coup de tonnerre, la foudre viendra plus tard.
Là s’en est trop, femme et enfant, j’en ai quatre maintenant, laissent tomber le rebelle trop passionné que je suis, et vont voir si l’herbe est plus verte ailleurs.
Divorce... pas question. Jamais. Bataille physique, juridique, intimidation, résignation.
À l’occasion d’une rencontre de conciliation, dans un restaurant, elle me présente mon remplaçant. 
Un fils a maman grassouillet bafouillant. Là pour le coup je me sens humilié. 
Le voilà qui me sert un pathétique morceau de violon. Je l’aime, je la rendrais heureuse, laisse-la-moi, etc. etc.
Face à un conard, j’ai toujours eu de la peine à me contrôler, je saisis un couteau qui trainait sur la table, je me penche en avant et lui plante dans la poitrine jusqu’au manche.
Pour la conciliation c’est raté, mais l’honneur est sauf.
Panique générale, il s’écroule, le sang lui s’écoule sur le plancher.
Je reste assis sur ma chaise, indifférent à l’agitation ambiante. Paisible, sans aucun regret, ce n’était qu’un rêve.
Ce n’en était pas un...!!!
Ambulance, police, je suis arrêté. Interrogatoire. Juge, Tribunal – tentative d’assassinat sans préméditation – 3 ans d’emprisonnement.
Je ne devais plus revoir mes enfants, même leurs noms seront changés par un tour de passe-passe du conard au bras long que j’avais planté, mais qui s’est malheureusement rétabli.
C’est par le journal du matin, que bien des années plus tard, photo-choc à l’appui, j’apprendrai, que pour toi mon garçon la séparation serait définitive, trop pressé, parti dans un grand bruit de tôle, tu n’atteindrais jamais tes 20 ans.
J’ai revu ma fille à l’enterrement, sans qu’elle sache qui j’étais, par la suite nous nous retrouverons, mais même l’amour et la tendresse, ne pourront jamais réparer les dégâts causés par toutes ces années de mensonge, de malheur et d’absence.
En dépit de ces coups du sort, déboires et désespoirs ne m’ont pas abattu, maintenant j’ai la résilience, je m’en remets... Je m’en suis remis.
Malgré quelques gros trous dans le cœur, j’ai enfin rencontré l’âme sœur qui m’accompagne depuis plus de 35 ans. Je tiens toujours le cap, de mes convictions, biologique, écologique, macrobiotique, médecine parallèle, qui s’avère malheureusement, de plus en plus réalistes.

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Le  P-P

QUOI? MOI ? JE VOUS INTÉRESSE !

La retraite, en terme militaire c’est en arrière toute, la déroute au son des tambours et au pas de course pour éviter « La mort aux trousses ». (Hitchcock 1959)
La retraite socio-professionnelle c’est la fin de « travailler plus pour gagner plus », ou moins, c’est selon. 
Imaginons une personne de 65 ans et plus si affinité, toi (oui... le tutoiement est de rigueur maintenant, comme chez les djeuns) qui es en train de lire ces lignes, ou vous dans quelques années quand vous aurez atteint cet âge. L’échéance fatidique est arrivée, dorénavant il y aura 7 dimanches dans la semaine, et pour les prévoyants un salaire-retraite fixe qui tombe ric-rac chaque fin du mois. On a beau s’y être préparé, c’est un passage identique à l’adolescence, un saut dans l’inconnu, avec une différence majeure, cette fois au lieu de rentrer dans la vie active on en sort, dé-fi-ni-ti-ve-ment.
La vie professionnelle s’est terminée progressivement ou subitement, vous vous y êtes préparé et avez organisé votre retraite en conséquence, certains ont attendu ce moment avec impatience, d’autres avec appréhension. Un certain temps sera nécessaire pour réaliser et s’adapter à sa nouvelle condition de « retraité « mais peu à peu il faudra bien se rendre à l’évidence, ont est du 3ème âge et peut-être même un jour, du 4ème.
Une vie nouvelle commence, une nouvelle naissance en quelque sorte, avec un nouveau statut. 
Après gamin, ado, adulte, senior, maintenant c’est : pépé, pépère, vieux et petit vieux, vioc, vieux schnock, barbon... hooo, sans oublier ces vieilles dames : mémé, mémère, vieille taupe... hooo ou vieille chouette... hoo, hoooo
Et chaque décennie génère des génaires ; sexa, septua, octo, nona et ouf... centenaire.
Cela serait une erreur de croire que les acquis biologiques qui sont les vôtres au jour de la retraite sont définitifs, et que les entretenir pour les maintenir actifs et performants est suffisant. C’est une seconde erreur de croire que le déclin de ces mêmes capacités biologiques ; physiques, physiologiques et cérébrales, est inéluctable au fil des jours qui nous rapprochent du grand saut dans l’infini.
La déchéance biologique est une maladie de dégénérescence et comme toutes les autres maladies, elle peut être évitée en se conformant aux principes vitaux d’un certain art de vivre.
Placée dans le seul contexte politico-économique, la vieillesse n’est plus envisagée qu’en termes de contraintes, de charges et d’inutilité.
La grande inertie des États permet un véritable génocide gériatrique sans culpabilité, parce que lorsqu’on est vieux on doit mourir. Un génocide silencieux perpétré grâce aux incohérences et aux maltraitance qui font tous les ans plus de morts que la canicule. De la prise en charge défaillante des vieux aux urgences, à l’hécatombe des mauvaises orientations, sans parler des euthanasies « tellement courantes, dit un médecin, que pour s’en convaincre il suffit d’aller dans les hôpitaux », tout contribue à accélérer leur fin.
Ceux qui survivent à l’hôpital se retrouvent dans des maisons de retraite inadaptées à leur prise en charge. Abandonnés sans soins dans des établissements sous-dotés en personnel, les vieux débris, dénutris, sous-médicalisés et surmédicamentés ne font pas long feu. 
La justice ne condamne que rarement ces « dysfonctionnements institutionnels ». La vie d’un vieux ne vaut plus rien, “quedal, nibe“. L’État se désengage de ses responsabilités en privatisant le secteur. Reste à savoir à qui profite le crime. 
Là... il y a du monde qui nous attend :
Votre mort nous intéresse.
Les plus dangereux, ceux qui vous aiment et ceux qui veulent vous aider. Vos enfants et les services sociaux.
Un faux pas, un oubli, une casserole qui brûle ou un pull à l’envers et hop, direct, sans consentement mutuel, en « maison de surveillance pour vieux « pour ton bien papa ou maman ».

Les agences du voyage sans retour.
Les services suisses d’assistance au suicide DIGNITAS et EXIT, ils viennent de lancer une initiative populaire pour pouvoir entrer dans tous les EMS au bénéfice de subventions publiques.
Leurs buts : faciliter l’aide au suicide des résidents d’EMS qui en feraient la demande. Dans notre société où la durée de vie s’allonge et avec elle des pathologies comme Alzheimer et autres démences, cette initiative soulève des questions importantes, délicates, voire dérangeantes.
Choquante, excessive, inacceptable pour certains, cette initiative ouvre un débat public sur la pratique – encore relativement taboue – de l’assistance au suicide en fin de vie.
La polémique fait rage dans la plupart des pays européens concernant le droit au suicide assistés pour des personnes en fin de vie. En Suisse où ce droit est déjà acquis à titre privé, on veut aller encore plus loin, apporter cet ultime service, au cœur du problème, là ou il y a la plus grande densité de demandeurs au bout du rouleau : dans les EMS (établissements médicaux sociaux). 
Reportages, films, témoignages sur ces hôtels du dernier voyage, d’où l’on ne ressort qu’allongé dans un corbillard, sont de plus en plus présents dans les médias. Après les avoir entendus et visionnés – si vous en avez le courage – s’il vous restait encore un peu d’espoir pour vos derniers jours, celui-ci aura définitivement disparu. Ne subsistent alors qu’angoisse et désespérance pour votre propre fin. Pour accepter cette triste destinée, ne reste que le déni (je ne veux pas le savoir), ou une chance aléatoire de ne pas en arriver à cette terrible extrémité.
C’est cette résignation morbide, qui malheureusement, contribue à considérer une fin de vie en EMS comme normale, un mal nécessaire auquel la plupart d’entre nous doivent s’attendre. Mais ce qu’il faut bien savoir, c’est que rentrer dans de tel établissement et déjà une sorte de suicide social. Dès la porte franchie, vous n’êtes plus maître de votre destin et encore moins de votre mort, suicide ou pas.
Alors suicide assisté en EMS ou soins palliatifs, là n’est pas la véritable question. La seule est unique interrogation que l’on doit se poser, c’est… est-il possible d’éviter cette tragique dernière séquence et si oui ? Comment ?




Mais tout n’est pas perdu… La formule magique, la voilà…

La trilogie secrète :  


Manger – Bouger – Créer.

Manger  =  C’est faire sa propre cuisine 
Bouger  =  C’est l’aptitude à se déplacer et à se mouvoir.
Créer    =  C’est penser – choisir et décider pour soi.

Lorsque vous devenez dépendant, vous perdez ces trois libertés et vous êtes finis. N’attendez pas cette échéance, préparez-vous avant qu’il ne soit trop tard.
Vous comprenez pourquoi j’ai appris l’informatique à 65 ans, que j’écris chaque jour depuis cette époque et que vous avez le privilège de lire mes mémoires ici sur ce blog ou chez vous confortablement installé sur votre canapé avec une tablette de lecture sur les genoux et un coussin derrière la nuque.
Allez je vous laisse lire tranquille, vous n’allez pas vous endormir, je vous le garantis.







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